Ici, l'album photo de la sortie Perche / Alpes Mancelles du TPC, les 7 et 8 Juin 2008. |
8h30 - Rendez vous à Versailles Samedi 7 Juin - Notre président, notre trésorier et notre webmaster nous retrouvent pour prendre le petit déjeuner ensemble. Ils sont très courageux de s’être levé de bonne heure pour rejoindre les participants. Il est l’heure de prendre la route, car nous avons une grosse journée de roulage. |
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10h09 - Direction la Vallée de Chevreuse pour une première mise en jambe avant de retrouver nos deux complices du voyage à Rambouillet (Valérie et Yannick). |
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12h25 - Direction le Perche que je ne connais pas personnellement. Les routes sont bonnes et le rythme s’accélère. Les motos ont soif ( comme les hommes d’ailleurs ) et nous nous mettons à la recherche d’essence pour nourrir nos montures. C’est à ce moment que nous perdons la Tiger de Jean-François qui était concentré sur sa recherche d’essence, alors que l’autre partie du groupe prend la direction de Mortagne-au-Perche. |
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13h22 - Après plusieurs appels ( quand on a du réseau ...), tout le monde se retrouve pour le déjeuner à Mortagne. |
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16h09 - Après un bon repas, nous reprenons la route, direction les Alpes Mancelles. Les routes sont plus étroites et plus bosselées que les routes du Perche. Jean-François s’en donne à cœur joie, car sa Tiger est faite pour rouler sur ce genre de routes, par contre moi j’ai du mal à suivre avec la Sprint qui saute de partout. Nous stoppons à Saint Léonard des Bois pour une pause café, et Valérie me fait remarquer qu’il est seulement 16h30 et qu’il reste 80 km pour rejoindre Domfront, le lieu de notre hôtel ! |
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18h07 - Nous décidons de rallonger le parcours en faisant une halte au perchoir du Mont des Avaloirs pour admirer la vue. Ne me cherchez pas sur la photo, je n’y suis pas ;-) Disons que pour monter sur la coupole, les escaliers sont dans le vide et mes jambes n’ont pas suivies. |
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19h45 - Nous repartons, direction Alençon pour nous diriger sur Carrouges. Et là, oh surprise une route avec des virages splendides, style circuit GP et un très bon bitume. Jean-François décide d’ouvrir le bal, mais nous lui collons aux basques. Après s’être éclaté sur cette dernière portion nous rejoignons l’hôtel à Domfront. |
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20h55 - Nous récupérons les clés des chambres et nous nous retrouvons pour le repas du soir qui fut, malgré moi, arrosé au poiré ( c’est pire que du champagne, ça part tout seul ). |
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11h00 Dimanche 8 Juin 2008 - Après une bonne nuit ( enfin presque pour tout le monde, car un chien a gueulé toute la nuit ;-( , nous prenons la route direction Sourdeval et la Vallée de la Sée. La route est belle et les virages s’enchaînent agréablement. |
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11h50 - Une p’tite pause pour recueillir les impressions des uns et des autres, ( aussi pour se déboucher le nez : il sont cons à la météo, il avaient annoncé un grand soleil la veille, mais sur le terrain, il fait frisquet ) et certains sont surpris de trouver de telles routes dans la région, mais bon, comme je suis natif du coin, je sais où les trouver. Nous repartons pour la partie la moins agréable de la mâtinée : des lignes droites. Mais bon, nous n’avons pas le choix, pour rejoindre le Bocage Virois et la Suisse Normande, nous devons en passer par là. Nous décidons donc de mettre pied à terre à St Sever pour une bonne pause café : il caille de plus en plus et des gros nuages noirs arrivent ( ah la météo, si je les avais sous la main je leur dirai ma façon de penser ). |
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13h50 - Allez, on repart on a encore 80 km pour rejoindre Clècy en Suisse Normande. Les routes sont de nouveau étroites et bosselées et devinez qui décide d’accélérer ? : le Tiger ( il m’énerve avec son jouet, il ressent pas les bosses ;-(. En plus, je m’aperçois que le voyant de mon Abs ne s’éteint pas. Je ralenti, tout le monde me double, je m’arrête pour résoudre le problème et je retrouve le groupe un peu plus loin. Nous arrivons sur Clécy vers 13h30 pour déjeuner au bord de l’orne avec les canards (toin toin ? ndlr). Cadre splendide, mais ça aurait été mieux avec le soleil. Au moment de reprendre la route, des gouttes d’eau tombent. |
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16h00 - Ah non pas de pluie ! les routes sont encore plus étroites que ce matin. Nous prenons la direction de la Roche d’Oëtre pour admirer le panorama ( précipice de 118m ) |
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18h40 - Puis nous traversons le Barrage de Rabodanges en direction d’Argentan pour aller nourrir nos destriers. Mais oh malheur, les pompes à essences sont soit hors service, soit vides. Nous réussissons à en trouver une, car Patrick commençait à avoir peur de tomber en panne sèche. C’est malheureusement l’heure de prendre la direction de la région parisienne, sans pour autant se priver des quelques derniers virages, surtout ceux qui se trouve après le Pin-au-Haras. |
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D’ailleurs, un autochtone, pensant que nous étions de pépères motards, me fait une peur bleue en me doublant avec sa Gsxr ( pas vue dans l’angle mort du rétroviseur ). Je décide de lui coller au "fesses", suivi de Patrick, et on se tire une bonne bourre ( en prenant des risques mesurés ). Il pensait peut-être qu’il allait mettre dans le vent des parigots. Et bien c’est raté ! Je connaissais par cœur cette enfilade de virages. Le groupe se sépare en deux à Ivry-la-Bataille, une partie partant vers Houdan, l’autre sur Mantes. |
QUAND C'EST QU'L'ON RECOMMENCE ??? ;-) |
commentaire by-Yannick M. |